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Activités de nos membres










Je suis APLP parce que…

"Je suis artiste pour la paix parce que quand je me monte sur scene, j'ai l'impression de faire la paix avec mon âme et celle du public. Je me retrouve là, en lieu sûr, pour explorer les forces et les failles de nos coeurs, sans danger, sans jugement ni discrimination pour célébrer la beauté de l'humanité. Et si la vie était toujours ainsi ?"
Paule Tremblay, autrice-compositrice-interprete
"C'est la paix et la justice pour tous que chacun d'entre nous souhaite et recherche. Contribuons à construire un monde meilleur, avec notre talent, quel qu'il soit !"
Camille Pelletier Antaya, membre des APLP
"Parce que la paix est toujours à faire, en nous comme avec les autres, et que c’est par l’art que c’est le plus merveilleux de la promouvoir, de la défendre, de la fêter !"
domlebo, auteur-compositeur-interprète
"Les mots de Louise Warren sur le dessaisissement et sur l’intensité préalable à la création me conduisent à Mozart et à Beethoven, à ma fille et à mon fils : je leur souhaite la paix… et travaille tous les jours à ce que ce vœu se réalise !"
Pierre Jasmin, pianiste, membre de l'exécutif de Pugwash Canada
"La paix est loin d’être acquise. Avec l’explosion de l’industrie militaire dans le monde, on aura besoin de nos mots, notre musique, nos films, de notre art pour faire contrepoids. La culture est arme de construction massive."
Guylaine Maroist, cinéaste documentaire
"Je suis artiste pour la paix... Sans la paix, pas d'avenir pour la planète. Contribuer à bâtir une culture de la paix me semble un devoir."
André Jacob, auteur et artiste-peintre, APLP honoraire
"Je suis artiste pour la paix parce que la paix justifie l'espoir ."
Denis Carrier, auteur

Webinaire : Pourquoi le Canada n’a pas signé le TIAN ?

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Le Traité d’Interdiction des Armes Nucléaires a subi du Canada un refus dont un séminaire en ligne traitera la signification, le 19 novembre à 18h30 (heure de l’Est). Cliquez ici pour vous inscrire !

On pourra se joindre en ligne à nos invités, les députés Hedy Fry (Libérale), Alexis Brunelle-Duceppe (Bloc Québécois), Heather McPherson (NPD), Elizabeth May (Parti Vert), de même que Setsuko Thurlow, survivante du bombardement atomique sur Hiroshima, qui a accepté le Prix Nobel de la Paix 2017 au nom de la Campagne Internationale pour l’Abolition des Armes Nucléaires.

En juillet 2017 à l’ONU, le Canada n’a pas rejoint les 122 pays qui ont voté pour la conférence négociant un instrument légalement contraignant d’interdiction des armes nucléaires, en vue de leur totale élimination. Pourquoi a-t-il refusé de signer le TIAN ratifié par un cinquantième état le 24 octobre, qui entrera en vigueur dans moins de trois mois ?

Les bombes nucléaires représentent pourtant l’une des plus graves menaces à l’humanité. Quelques explosions sur diverses villes extermineraient des dizaines de millions de citadins. Selon la Croix-rouge (Croissant rouge), le déclenchement de 1% des 13 400 bombes nucléaires existant dans le monde dérèglerait totalement le climat global, en provoquant un hiver nucléaire qui pourrait affamer des milliards d’individus.

Dans un document aussi daté de 2017, la Défense canadienne adoptait une politique autoqualifiée de forte, sécuritaire et engagée qui ignorait toutefois la menace posée à la survie de l’humanité par les bombes nucléaires (celles de la Corée du Nord sont mentionnées une seule fois, tandis qu’on trouve deux douzaines de références à une alliance avec l’OTAN, armée de telles bombes !). Le gouvernement Trudeau prétend qu’il ne peut ratifier le TIAN (ONU) parce qu’il est membre de l’OTAN, dont la politique ne renonce pas à se livrer en premier à une éventuelle attaque nucléaire.

Lors de la 75e commémoration du bombardement d’Hiroshima en août dernier, le Bloc Québécois, le NPD et les Verts, appuyés par quelques députés libéraux, ont, tout comme de nombreux Canadiens, appelé le Canada à adopter le Traité d’interdiction des Armes Nucléaires (ONU). Appelé à devenir loi internationale, il devient donc urgent que des membres du Parlement en discutent sérieusement.

L’Institut canadien de politique étrangère et la Coalition torontoise pour commémorer Hiroshima-Nagasaki sont fiers d’avoir rassemblé, avec l’aide des Artistes pour la Paix, les invités suivants :

– Setsuko Thurlow n’avait que treize ans quand elle a été témoin direct du bombardement atomique de Hiroshima. Elle est depuis devenue cheffe de file du mouvement antinucléaire au Canada et partout dans le monde, jusqu’à Oslo où elle fut invitée à recevoir le Prix Nobel de la Paix accordé à la fin 2017 à ICAN.org.

– Dr. Hedy Fry, élue sans interruption depuis 1993 députée libérale de Vancouver centre, est membre du Comité permanent des affaires étrangères et du développement international et vice-présidente des Parlementaires canadiens pour la non-prolifération nucléaire et le désarmement.

– Alexis Brunelle-Duceppe, député du Bloc Québécois de Lac-Saint-Jean, est vice-président du Sous-comité des droits internationaux de la personne du Comité permanent des affaires étrangères et du développement international et aussi vice-président du Comité permanent de la défense nationale (Canada).

– Heather McPherson, députée du NPD pour Edmonton Strathcona, est Leader en Chambre du Parti Néo-Démocrate, critique NPD pour le Développement international et pour les Affaires étrangères.

Elizabeth May, élue sans interruption depuis 2011 députée du Parti Vert dans Saanich-Gulf Islands (Colombie-Britannique), est maintenant Leader en Chambre du Parti Vert.

Ce sera un premier débat de la part des partis canadiens sur cette question cruciale. Selon l’historien Anton Wagner, coorganisateur, Canada Dimension a exprimé sa volonté de diffuser l’événement à travers le pays.

Cliquez ici pour vous inscrire au séminaire en ligne.

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Les APLP suggèrent…

Voici deux organisations humanitaires qui sont actives en Ukraine et dans les pays où les Ukrainiens se réfugient, sans être contrôlées ni par le gouvernement ukrainien ni bien sûr par la Russie.
Note : ces liens mènent directement aux sites web des organismes. Les dons ne transitent pas par les APLP.

Nos actions récentes

20 novembre 2022 : Lettre à la ministre Mélanie Joly : Négociez avec la Russie !
26 septembre 2022 : Événement Nourrir la paix à Rosemont.
17 septembre 2022 : Nettoyage du parc Lucia-Kowaluk pour le Journée internationale du nettoyage de la Terre.
28 juin 2022 : Lettre à la ministre des Affaires étrangères.
28 juin 2022 : Manifestation avec le Mouvement québécois pour la paix
8 mai 2022 : Manifestation Les mères au front à Québec..
5 avril 2022 : Les APLP endossent la lettre du Canada Peace Network contre les dépenses militaires.
27 mars 2022 : Lettre à l'ambassadeur des États-Unis à Ottawa.
26 mars 2022 : Manifestation avec Échec à la guerre contre la guerre en Ukraine et au Yémen.
23 mars 2022 : Lettre à l'ambassadeur de Russie à Ottawa.
23 février 2022 : Lettre à la ministre Joly sur l'Ukraine.
15 février 2022 : 33e cérémonie des Prix APLP.
21 décembre 2021 : Nos souhaits de paix 2022, lettre aux ministres fédéraux.
13 décembre 2021 : Lettre au premier ministre sur l'exportation d'armes vers l'Arabie Saoudite.
21 novembre 2021 : Deuxième lettre au ministre Miller.
27-28-29 octobre 2021 : Lettres aux nouveaux ministres fédéraux Joly, Guilbeault, Anand et Miller.
19 février 2021 : Lettre ouverte au PM concernant Haïti.

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