André Jacob, membre honoraire des APLP, nous propose son poème quotidien.
Fête à la ville
Travailleurs endimanchés
Dans la rue clament et réclament
Souvenirs de grève
Au travail demain comme hier
Il fait paix aujourd’hui
Articles par
Le poème du jour d’André Jacob – mai
C’est risqué d’être artiste pour la paix
Dans l’édition du journal Le Devoir du 10 mai, monsieur Stéphane Baillargeon présente l’intervention de Bono à Kiev en discutant de l’engagement des artistes dans les situations de guerre. Question fort à propos. Comme il le souligne, en invitant officiellement cet artiste très populaire, le gouvernement ukrainien a fait preuve d’une maîtrise assumée de la propagande de guerre.
PlusLe poème du jour d’André Jacob – avril
André Jacob, membre honoraire des APLP, nous propose son poème quotidien.
Quand les peuples vivent d’amour
Ils vont semer la vie sur terre
Les poètes chanteront toujours
Et nous, nous vivrons en paix, mon frère
Le poème du jour d’André Jacob
André Jacob, membre honoraire des APLP, nous propose son poème quotidien.
En équilibre instable au-dessus des guerres, comme une nymphe évanescente plus fragile qu’un oiselet, la paix avance à tâtons, au risque de basculer dans le vide de l’oubli.
Les parades de l’arrogance
Chaque jour, les médias nous rappellent l’existence de la poudrière de l’horreur qui menace l’humanité au nom de la dissuasion. Les gros mots font trembler le monde: nucléaire, armes chimiques, missiles supersoniques. Dans ces formules convenues, on menace. On répond à l’ennemi avec arrogance et grandiloquence avec des pauses théâtrales susceptibles de gagner les auditoires avec des émotions fortes.
PlusEntre les armes et la non-violence
À juste titre, dans son éditorial du Devoir du 22 mars, Guy Taillefer souligne en rouge « la banalisation de la violence dans les relations internationales ». À ce stade-ci du conflit Russie-Ukraine, dans les discours officiels, force est de constater que le discours guerrier domine en tout.
PlusL’OSM annule les concerts du jeune pianiste russe Alexander Malofeev
Tel est le titre d’un article du journal Le Devoir du 9 mars. Aujourd’hui donc, je n’ai pas le cœur à la poésie, mais plutôt au désenchantement devant la confusion sur l’esprit de la guerre qui, en quelques jours, s’est imposée sans nuances, à la vitesse de l’invasion, partout dans les esprits, les cœurs… et les institutions, dont l’OSM. La culture de la paix n’est pas une utopie, mais un développement de la pensée à cultiver.
PlusNous sommes la paix, à nous de jouer
Partout, se lèvent des drapeaux blancs… La paix n’a qu’un nom, la paix. Le conflit sur le terrain de l’Ukraine se résoudra par la négociation vers la paix, ce mot qui résonne toujours comme la clé du mouvement d’une symphonie andante, loin du tintamarre des armes.
PlusLe peuple cubain n’a pas le cœur à rire
Depuis le mois d’octobre 2021, Walt Disney World présente une série de joyeuses manifestations pour célébrer son 50e anniversaire de conquête du monde du divertissement. Pendant ce temps, à Cuba, on remémore le 7 février 1962, donc il y a 60 ans, jour de l’entrée en vigueur du décret 3 447 proposé par le président américain de l’époque, John F. Kennedy. Un devoir de mémoire s’impose.
PlusPourquoi la Russie semble devenue un dangereux ours à abattre ?
Depuis plusieurs semaines, les médias mettent l’emphase sur la menace russe comme étant une des plus graves depuis la Seconde Guerre mondiale, rien de moins. Propagande! C’est le mot-clé qui sous-tend les déclarations du gouvernement Trudeau, lequel avalise sans sourciller les stratégies de l’OTAN pilotées par les États-Unis.
PlusLa tentation de la répression
Pour juguler la pandémie, le gouvernement du Québec a développé l’art de faire avaler les mesures répressives, notamment le couvre-feu et la dernière proposition, une taxe spéciale pour les non-vaccinés. S’appuyant sur le sentiment général de ras-le-bol, le premier ministre Legault fait appel à la majorité qu’il utilise à sa guise pour justifier ses décisions.
PlusPour la paix… Que faut-il regarder du côté du gouvernement canadien ?
Parmi les clichés du début d’une nouvelle année, on souhaite la paix, mais la paix angélique et individuelle sans portée sociale ou politique. C’est trop dérangeant de regarder le portrait actuel dans notre miroir et celui de nos sociétés riches, organisées et bien pensantes. À l’orée de l’année 2022, il reste plusieurs zones d’ombre quant aux enjeux cruciaux au sujet du développement de la culture de la paix, tout particulièrement si l’on analyse un peu les positions du gouvernement du Canada.
PlusÉchec de la COP26, prélude à des conflits annoncés ?
Ça y est, le rideau est tombé. La COP26 vient d’accoucher d’une prise de position générale qui laisse le monde en appétit. Les espoirs de millions de personnes sont déçus, car il a semblé impossible pour les pays de s’entendre sur des principes de changements structurels profonds.
PlusÉlections municipales : déficit de démocratie
Dans plusieurs villes et villages, la campagne électorale, comme à chaque élection municipale, fut basée sur des listes des réalisations en marche (circulation, voirie, jeux d’eau dans un parc, etc.). Et au lendemain de l’élection, on déplore, comme toujours, la participation famélique de citoyens et des citoyennes lors du vote.
PlusFin de campagne électorale : des vides significatifs
Lundi 20 septembre, nous exercerons notre droit de vote, mais à partir de quel contenu au juste. Plusieurs personnes disent se baser sur les impressions que dégagent les chefs des partis, en somme sur une perception très générale. D’autres utilisent la « boussole électorale » pour tenter de prendre une décision éclairée. Dans certains cas, c’est le nihilisme : ça ne m’intéresse pas, disent les citoyens et citoyennes désabusés.
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