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Dessin par le plus actif de nos militants : Frédéric Back sur tous les continents.

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Nouveau logo adopté en 2018 par les Artistes pour la Paix.

Depuis un récital en juillet 2007 pour le 50e anniversaire des Conférences internationales PUGWASH en présence du maire de Hiroshima, j’ai essayé d’être digne de mon modèle et ami Frédéric Back en rejoignant tous les groupes travaillant à l’élimination des armes nucléaires, en organisant plusieurs événements au Québec, y compris contre le nucléaire civil et en participant à la résistance canadienne contre le complexe militaro-industriel à Ottawa et à Toronto. En août 2020, c’est à l’occasion du 75e anniversaire du bombardement de Hiroshima que le Dr Anton Wagner et moi persuadons trois partis, le Bloc Québécois, le NPD et les Verts à endosser le TIAN, tout en prévoyant l’événement du 19 novembre.

Saluons aussi le travail d’Earl Turcotte et Bev Delong à la tête de CNANW (Réseau canadien pour l’abolition des armes nucléaires). Le 21 septembre dernier, Journée internationale pour la Paix (ONU), lors d’une célébration en mémoire de Lucia Kowaluk dans un parc nommé en son honneur, organisée par la Ville de Montréal conjointement avec Dimitri Roussopoulos, son conjoint auteur de 15 livres pacifistes et l’un des organisateurs de la première association étudiante pan-canadienne opposée aux bombes nucléaires au tout début des années soixante, il m’a demandé de prononcer un discours où j’ai rappelé les faits suivants :

Lucia Kowaluk nous a aidés à faire adopter par la Ville de Montréal la politique « Zone libre d’Armements Nucléaires » (dès le premier mandat de Jean Doré) et son jumelage avec Hiroshima (sous Pierre Bourque). Incidemment, ce matin, paraît une déclaration de 56 anciens chefs d’état et secrétaires généraux de l’ONU et même de l’OTAN à l’effet que le Canada devrait appuyer le Traité d’Interdiction des Armes Nucléaires comme nous l’avons exprimé, Dimitri et moi dans une lettre signée par plus de 150 personnalités acheminée à M. Trudeau vendredi dernier le 18 septembre [toujours sans réponse le 29 octobre].

Ancien député du PQ et du Bloc Québécois, professeur retraité à l’Université de Montréal, Daniel Turp livre un discours le 21 septembre à l’occasion de la Journée internationale de la Paix – ONU.

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Photo : Le Platau Mont-Royal

2019

Avec les Artistes pour la Paix et le Mouvement Québécois pour la Paix, Black Rose Books organise le 21 septembre 2019 la venue à Montréal de la militante Ray Acheson (photo 5), director of Reaching Critical Will, the disarmament program of the oldest women’s peace organization in the world, the Women’s International League for Peace and Freedom. Elle livre un discours à l’égal de celui offert lors de la commémoration à Toronto un mois et demi auparavant pour la Toronto Hiroshima-Nagasaki Day Coalition (Dr. Anton Wagner), traduit sur le site des APLP.

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Ray Acheson entre Setsuko Thurlow et Cesar Jaramillo (Project Ploughshares)

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Logo créé par le photographe militant anti-nucléaire montréalais Bob del Tredici.

2018

michel-virani-lafond-jasminFévrier 2018 : Au Musée des Beaux-Arts de Montréal, Jean-Daniel Lafond organise trois jours d’activités artistiques centrées sur la paix grâce à la Fondation Michaëlle-Jean qui vient en aide aux artistes autochtones. Elle est présente dans la salle avec l’ex-directrice du Musée Nathalie Bondil, alors qu’on voit sur la scène André Michel, Aquil Virani et Pierre Jasmin qui brandit la brochure « le pouvoir des arts » pour la paix, thématique des 3 jours.

2017

26 septembre 2017 : Les Artistes pour la Paix organisent à l’UQAM une conférence-récital-film à la salle Marie Gérin-Lajoie par Pierre Jasmin.recital-jasmin-octobre_2017

 

25 Septembre 2017 : à Ottawa, vingt-huit représentants d’organismes de paix opposés aux bombes nucléaires brandissent le symbole international. C’est un projet d’Alyn Ware, coordonnateur des Parlementaires pour la non-prolifération nucléaire et le désarmement [1], en prévision du 26 Septembre, Journée de l’ONU pour l’élimination totale des armes nucléaires. De gauche à droite parmi d’autres non identifiés, Dr Richard Denton, Rob Acheson, Pierre Jasmin, Peggy Mason, Paul Meyer, Adele Buckley, Cesar Jaramillo, Paul Maillet, Janis Alton en avant avec Debbie Grisdale et Murray Thomson, Bill Bhaneja, Earl Turcotte, Bev Delong, Robin Collins, Ernie Regehr, Judith Berlyn, Doug Roche, Walter Dorn et Gerard Daechsel.

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2015

L’UNEP, le programme des Nations-Unies pour le développement durable contre le réchauffement climatique : avec Laure Waridel et Dominic Champagne (APLP2011), nous nous associons à des initiatives écologiques menées par les Uqamiens Marie St-Arnaud (Semaine Pierre-Dansereau en mai 2015, M. Dansereau ayant été longtemps membre des APLP) et les professeures titulaires Louise Vandelac de l’Institut des Sciences de l’Environnement, Lucie Sauvé directrice du Centre de recherche en éducation et formation relatives à l’environnement et à l’écocitoyenneté et Corinne Gendron de l’ÉSG, titulaire de la Chaire de responsabilité sociale et environnementale. Rappelons que l’explosion d’un nombre restreint d’armes atomiques aurait pour effet connexe à la destruction connue, de soulever un nuage de particules bloquant assez longtemps les rayons de soleil pour créer un hiver nucléaire et une famine considérable qui s’ensuivrait.

L’Institut des Nations-Unies pour la Recherche sur le Désarmement (United Nations’ Institute for Disarmament Research : UNIDIR), la Commission connue sous son acronyme anglais, l’UNMOVIC (United Nations’ monitoring, verifications and inspections’ Commission), dont le directeur Hans Blix affirmait que l’Irak n’avait pas d’armes de destruction massive (hélas les manipulations de George Bush et de Tony Blair qui voulaient la guerre ont résulté en bien plus que 100 000 morts et trois millions de réfugiés), l’Agence internationale d’énergie atomique, dont les directeurs El Baradei et Yukiya Amano ont affirmé que ni l’Irak ni l’Iran n’avaient de bombe atomique, l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OPCW) qui a obtenu le prix Nobel de la Paix 2013 pour son travail en Syrie épaulé par Walter Dorn (Pugwash), tous participent à ce que l’assemblée générale de l’ONU soit renforcée contre les dangereux jeux de pouvoir des cinq grands du Conseil de Sécurité (aussi les cinq plus grands producteurs d’armes et détenteurs d’armes nucléaires au monde). L’accession au Conseil de pays comme l’Inde, le Brésil ou le Nigéria aiderait à appuyer de meilleures décisions onusiennes, comme la résolution adoptée en 2013 d’Oxfam et d’Amnistie Internationale sur le monitoring des exportations d’armes.

Avril 2015 : Symposium international de Québec sur l’uranium

Avant d’accéder à la plénière du Symposium international de Québec 2015 sur l’uranium, on reconnaît d’abord sur la photo Karine Vanasse en sourire et jambes du printemps, puis l’acteur américain et activiste Ed Bergley Jr (le plus grand), Shawn Iserhoff, conseiller au Conseil de la Nation crie de Mistissini, l’actrice allemande Nadine Badewitz au centre de la photo, Jamie Moses du film « The Wolverine », Héloïse Fernandez, Joshua Iserhoff, le grand chef des jeunes de la Première Nation Crie tout à droite. À gauche, derrière Gwenaelle Minot-Kohl, agente de projets Biodiversité, Cyril Frazao, tous deux de Nature Québec. Absents sur la photo Ugo Lapointe, le grand organisateur de ce symposium qui rassemble des opposants au nucléaire venus des 5 continents, telle docteure Helen Caldicott, des autochtones de Mongolie et notre Gilles Vigneault.

Nous exigeons aussi avec Gordon Edwards que le gouvernement se donne des politiques sur les déchets radioactifs et qu’il mette en place des projets exemplaires qui respecteront les normes internationales ou qui les dépasseront.  

Ces politiques et ces projets devront :

  •  être élaborés en consultation avec les Premières Nations et le grand public canadien;
  •  créer de nombreux emplois stables et bien rémunérés tout en protégeant la santé et les biens des Canadiens;
  •  entreposer les déchets radioactifs dans des installations sécuritaires ultramodernes, loin des sources d’eau potable;
  •  rétablir le leadership canadien en matière nucléaire avec des solutions de classe mondiale et fondées sur la science pour enrayer le problème croissant des déchets radioactifs à travers le monde.

 

Signataires : Alliance of the Anishinabek Nation and the Iroquois Caucus • Northwatch • Regroupement pour la surveillance du nucléaire • Les Artistes pour la Paix • Canadian Association of Physicians for the Environment • Concerned Citizens Committee of Manitoba • Sierra Club Canada Foundation • Prevent Cancer Now • Friends of the Earth Canada • Action Climat Outaouais • Ontario Clean Air Alliance • Ralliement contre la pollution radioactive • Ecology Ottawa • Bonnechere River Watershed Project • Ottawa River Institute • Old Fort William Cottagers’ Association • Unifor • Pontiac Environmental Protection • FTQ – Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec • Petawawa Point Cottagers Association • Greenspace Alliance of Canada’s Capital • Coalition Against Nuclear Dumps on the Ottawa River • National Council of Women of Canada • Esprit Whitewater • Provincial Council of Women of Quebec • Durham Nuclear Awareness • Provincial Council of Women of Ontario • First United Church (Ottawa) • Water Care Allies • Concerned Citizens of Renfrew County and Area

 

2012

En 2012, année riche, fort des victoires antinucléaires remportées au Québec mais déçus de l’inaction canadienne, les Artistes pour la Paix, avec à leur tête Daniel-Jean Primeau, s’orientent vers l’international. Rencontres de Pierre J. à trois reprises du néo-zélandais Alyn Ware, inspiration du dynamique groupe international Parlementaires pour la non-prolifération nucléaire et le désarmement déjà mentionné. Pierre produit un document que les APLP font connaître grâce à deux publications sur internet :

 

Le 25 octobre, les APLP sont invités à Québec par la députée NPD Hélène Laverdière, à l’occasion du congrès mondial des Parlementaires pour la non-prolifération nucléaire et le désarmement et y rencontrent des représentants de la Campagne internationale pour l’abolition des armes nucléaires (ICAN), de la Campagne internationale pour interdire les mines (ICBL-CMC, combattant mines anti-personnel et bombes à sous-munitions) et de Pugwash. Un combat se dessine en vue de déclarer la bombe nucléaire une menace que les humanitaires du monde entier doivent dénoncer : en effet, les conséquences sanitaires, environnementales et économiques d’une seule explosion, criminelle ou accidentelle, seraient si grandes que la Croix-Rouge, habituellement réticente à s’engager politiquement, les dénonce. La Cour Internationale de Justice, basée à La Haye, dénonce comme criminelles non seulement la possession d’armes nucléaires mais aussi la menace de l’utiliser proférée implicitement ou explicitement par les neuf pays détenteurs de l’arme (Chine, Corée du Nord, États-Unis, France, Grande-Bretagne, Inde, Israël, Pakistan et Russie) et par un organisme tel l’OTAN. Ce qui donnera en 2014 un prétexte juridique pour une action courageuse à la Cour Internationale de la part des Îles Marshall.

Quant à la menace terroriste, le directeur de l’Agence internationale d’énergie atomique, M. Yukiya Amano, déplore plus de cent incidents faisant objets de rapports chaque année impliquant le vol ou des activités illégales concernant du matériel nucléaire ou/et radioactif. Des événements suspects récents forcent l’attention vers les États-Unis dont plusieurs généraux responsables ont été renvoyés suite à leur conduite erratique. En outre, le 28 juillet 2012, trois activistes pour la paix d’âge moyen de 69 ans ont pu tranquillement accéder au cœur du site Oak Ridge Y-12 National Security Complex (USA), supposément « parmi les mieux sécurisés du pays », grâce à de simples pinces anti-cadenas. La réaction typique (pensons à Edward Snowden, Julian Assange et à Chelsea Manning) déplorable des Américains fut de vouloir emprisonner ces « dangereux terroristes » chrétiens armés de leurs seules convictions pacifistes qui n’avaient pour but que de révéler la dangerosité du site nucléarisé : leur procès a condamné une bonne sœur de 83 ans à une peine de trois ans d’emprisonnement, plus clémente que celle de ses deux comparses.

À la lecture de l’index Nuclear Threat Initiative, on peut tout de même se consoler avec le fait que sept pays ont nettoyé récemment leur territoire de tout matériel nucléaire militaire : l’Autriche, la Hongrie, le Mexique, la République tchèque, la Suède, l’Ukraine et le Vietnam, à la suite du Kazahkstan. Mais à la manière de Sam Nunn, responsable américain du NTI, on peut aussi se faire la réflexion suivante :

« Le jour qui suivra une catastrophe nucléaire, le monde se demandera ‘qu’aurions-nous dû faire pour l’empêcher’, alors pourquoi pas se le demander maintenant ? »

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Logo en français des conférences internationales Pugwash

Voici des extraits d’un appel sur la situation nucléaire alarmante traduit par les Artistes pour la Paix.

Déclaration de clôture de la Table de la société civile du 26 mars 2012 sur l’Interdiction mondiale des armes nucléaires, en préliminaire de la réunion du Comité préparatoire pour la Conférence d’examen de 2015 du Traité de non-prolifération (NPT Prep Com)

L’initiative Croix-Rouge/Croissant-Rouge méritoire tombe à point nommé. Les difficultés économiques chroniques rendent les armes nucléaires encore plus coûteuses. On gaspille chaque année plus de cent milliards de dollars en dépenses reliées aux armes nucléaires. Une meilleure compréhension des risques de la prolifération, qui s’étend aujourd’hui à des acteurs non étatiques, s’ajoute à un climat politique propice à de nouvelles actions pour l’abolition des armes nucléaires. De plus, en 2010, tous les États signataires du TNP ont reconnu les « conséquences humanitaires catastrophiques » de toute utilisation d’armes nucléaires, volontaire ou non. Plus des trois quarts de tous les pays ont voté pour une résolution de l’ONU demandant la mise en place de négociations visant à l’élaboration d’une Convention d’élimination des armes nucléaires. Des pays représentant 81 % de la population mondiale appuient la tenue de négociations en vue d’une interdiction complète et permanente.

Le Canada devrait rejoindre cette majorité. Effectivement, une motion unanime du Parlement canadien « incite le gouvernement du Canada à entamer des négociations sur le désarmement nucléaire en vue de conclure une entente » et « à mettre en œuvre une importante initiative diplomatique canadienne à l’échelle mondiale en appui à la prévention de la prolifération nucléaire et à l’accroissement du taux de désarmement nucléaire. » Cette motion appuyée par tous les partis a été votée aux Communes et au Sénat en 2010 et réaffirmée en décembre 2011 au Forum parlementaire de tous les partis soulignant le premier anniversaire de la motion unanime.

  1. Le gouvernement du Canada devrait profiter de la première rencontre du Comité préparatoire de la Conférence d’examen de 2015 du TNP pour déclarer son appui à la Proposition en cinq points du Secrétaire général de l’ONU Ban Ki-Moon sur le désarmement nucléaire. Pour mettre en œuvre une « importante initiative diplomatique », comme l’a réclamé unanimement la Chambre des communes, le gouvernement devrait tenir une rencontre d’États aux vues similaires, sous les auspices du Middle Powers Initiative Framework Forum, pour examiner les exigences légales, techniques, politiques et institutionnelles d’une interdiction internationale des armes nucléaires. (2,3,4,5…)
  1. Tout en félicitant les États-Unis et la Russie pour leurs importantes réalisations en matière de réduction de leurs systèmes déployés d’armes stratégiques, le gouvernement du Canada devrait les encourager à redoubler leurs efforts pour une réduction des systèmes d’armes stratégiques et non stratégiques déployés, et pour une réduction de leur réserve stratégique en général, en conformité avec les principes de transparence, d’irréversibilité et de vérifiabilité. Il devrait y avoir un moratoire sur la modernisation de toutes les armes nucléaires.
  2. Afin d’arriver à une résolution pacifique de la question nucléaire iranienne, le gouvernement du Canada devrait appuyer activement la diplomatie internationale et les efforts d’inspection et de surveillance de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) à cette fin. (…) La diplomatie devrait se concentrer sur l’obtention d’une coopération totale entre l’Iran et l’AIEA ainsi que d’une transparence complète sur les programmes nucléaires iraniens, notamment par l’adhésion au Protocole additionnel de l’AIEA. L’objectif devrait être de prévenir la conversion par l’Iran de ses technologies actuelles en armes nucléaires, plutôt que de l’empêcher de développer des technologies non interdites par le TNP. Le Canada devrait explicitement rejeter toute intervention armée contre l’Iran et ses programmes nucléaires.
  3. Le gouvernement du Canada devrait presser tous les États du Moyen-Orient à participer à la conférence de 2012 sur la constitution du Moyen-Orient comme zone libre d’armes nucléaires et d’autres armes de destruction massive. Dans cette optique, le gouvernement du Canada devrait en appeler à la mise sous surveillance complète par l’AIEA de tous les programmes et usines nucléaires de la région (incluant Israël).

 

Cette déclaration du Réseau canadien pour l’abolition de l’arme nucléaire a été appuyée par les groupes suivants :

B.C. Southern Interior Peace Coalition
Boundary Peace Initiative
Canadian Coalition for Nuclear Responsibility
Canadian Federation of University Women
Canadian Friends Service Committee (Quakers)
Canadian Student/Young Pugwash (CSYP)
Canadian Unitarians for Social Justice
Canadian Voice of Women for Peace
Fredericton Peace Coalition
Hiroshima Day Coalition
Le Centre de ressources sur la non-violence
Les Artistes pour la Paix
Pacific Peoples’ Partnership
Pax Christi Montréal/Antennes de paix Montréal
Physicians for Global Survival/ Médecins pour la survie mondiale
Project Ploughshares
Religions pour la Paix – Québec
Religions for Peace – Canada
Saskatoon Peace Coalition
Science for Peace
Rideau Institute
The Vancouver Raging Grannies
Veterans Against Nuclear Arms
Womens International League for Peace and Freedom- Canada
World Federalist Movement – Canada/Le Mouvement fédéraliste mondial-Canada

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La finale du spectacle du 30e anniversaire des APLP.

Il devient impérieux que la société civile se lève pour défendre la démocratie menacée par le militarisme poussé par d’innombrables lobbyistes au service lucratif de l’industrie militaire. Les ressources des APLP sont limitées aux seuls dons de nos membres, ou d’une infime partie des entrées de nos spectacles, tel celui au Mondial des Cultures de Drummondville 2009 avec Dan Bigras, Natalie Choquette, Florence K. et Marie-Mai, tels les spectacles organisés au Musée des Beaux-arts de Montréal pour fêter notre 25e anniversaire ou celui envisagé pour notre 30e, nous aimerions voir chacun et chacune de vous prendre le temps d’interpeller vos députés et nos chefs de gouvernements. Car ces derniers sont obnubilés par leur réélection pour laquelle des sources de financement occultes leur sont nécessaires, vu qu’ils suivent, contre la volonté de la population, des politiques de destruction sauvage, encouragées par des chambres de commerce cupides et suicidaires et par des gens des médias trop occupés pour penser à long terme, sauf de trop rares émissions comme Enquêtes, Michel Desautels et Une heure sur terre, et on regrette les Pierre Maisonneuve, Bernard Derome et Jean-François Lépine qui ont quitté la SRC.

Le documentaire-choc contre le nucléaire... que Télé-Québec ne voulait pas diffuser avant les élections québécoises !

LE NUCLÉAIRE AU QUÉBEC : QUAND LA RÉALITÉ DÉPASSE LA FICTION !
Le documentaire-choc contre le nucléaire… que Télé-Québec ne voulait pas diffuser avant les élections québécoises !

Toujours en 2012 : le Parti Québécois ferme la centrale nucléaire de Gentilly. Le film Gentilly or not to be ci-dessus par Guylaine Maroist, devenue présidente des APLP, que le parti libéral a cherché à censurer avant la campagne électorale qui porte au pouvoir un Parti Québécois minoritaire, a beaucoup contribué à la sensibilisation du nouveau gouvernement, de ses ministres Daniel Breton, Scott Mackay et Martine Ouellette et de la population du Québec.

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Lobbying pour la paix sans armes nucléaires Pugwash à Ottawa

2011

Géniale affiche de Geneviève LeBel non rémunérée comme chacunE des participantEs, même pas récompensés par un seul article de journal. Heureusement, le cinéaste Martin Duckworth recevra le prix du Québec quatre ans plus tard.

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Ne manquez pas la 2e partie de ce texte.


[1] Rob van Riet & Alyn Ware, Promouvoir la non-prolifération et le désarmement nucléaires, UNION INTERPARLEMENTAIRE MONDIALE, 2012, ONU.