Sous les feux de la rampe, les porte-parole des partis politiques (exception faite de Québec Solidaire) estiment qu’ils ne voient pas nécessairement un racisme systémique à l’égard des citoyens et citoyennes des Premières nations. Ces positions me semblent un peu saugrenues, car ce type de discrimination crève les yeux. Certes, il s’agit d’une question complexe et les perceptions sont multiples, mais tout permet de croire que le racisme systémique est devenu tellement banalisé qu’on ne le voit plus.