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Pertinence accrue des Prix Nobel de la Paix

C’est pour leur lutte commune contre les violences sexuelles en tant qu’armes de guerre que les deux gagnants 2018 ont été récompensés. « Denis Mukwege et Nadia Murad ont tous les deux risqué personnellement leur vie en luttant courageusement contre les crimes de guerre et en demandant justice pour les victimes », a déclaré la présidente du comité Nobel, Berit Reiss-Andersen.

Trois lancements réussis pour notre Manifeste

En cette Journée internationale de la Paix, le Manifeste pour la Paix a été officiellement lancé dans le grandiose Atrium de l’édifice Gaston-Miron, siège du Conseil des arts de Montréal, sous la présidence d’honneur de M. Brian Bronfman. Le poète et artiste visuel André Jacob a fait lecture d’un extrait du texte, et Yvon Deschamps, auteur de l’avant-propos du Manifeste, nous en a donné un avant-goût.

Les APLP au Salon SCVLPTVRE

Mise à jour : 04-10-2018. Les Artistes pour la Paix, collaborent cette année au Salon de la sculpture du Québec à Sainte-Hyacinthe,qui en est à sa quatrième édition, les 5, 6 et 7 octobre. Nous y aurons une table, offerte gracieusement par la Fonderie d’art d’Inverness, pour accueillir des nouveaux membres, parler de notre mission et les visiteurs pourront aussi s’y procurer notre Manifeste de la Paix, qui après ses trois lancements consécutifs à Montréal, Mont-Saint-Hilaire et Victoriaville connait toujours du succès.

Lancement du Manifeste pour la Paix à Montréal

Vendredi le 21, Journée internationale de la Paix, a eu lieu le lancement montréalais du Manifeste pour la Paix des APLP, sous la présidence d’honneur de M. Brian Bronfman. Le Conseil des arts de Montréal a accueilli les APLP dans l’Atrium de l’édifice Gaston-Miron, un lieu hautement approprié s’il en fût pour le lancement de cet ouvrage empreint de poésie.

Les quatre cavaliers de l’Apocalypse

André Bélisle (AQLPA) me rappelle que c’était Lise Payette qui animait Les quatre cavaliers de l’Apocalypse, un film avant-gardiste par ses témoignages sur la dégradation de l’environnement (René Dumont, Dr Albert Nantel, Claude Béland, Harvey Mead et des savants suédois). Ce documentaire qu’on peut voir en ligne (onf.ca), réalisé par Jean-François Mercier en 1991 au Québec pour l’Office National du Film, dénonce quatre principales menaces pour l’environnement

Lise Payette (1931-2018) la mère du Québec moderne

Lise Payette mérite à coup sûr cette appellation mère du Québec moderne que lui a décernée Ariane Émond, sa complice féministe de la Vie en Rose, et ce sans vouloir diminuer Janette Bertrand ni Simonne Monet-Chartrand, ses « sœurs aînées ». Détermination, audace, tempérament à toute épreuve et surtout une franchise en toutes circonstances de ses vies artistique et politique devraient lui accorder des funérailles nationales.

Lancement du Manifeste pour la Paix le 21 septembre à Montréal

Le 9 août 1948 apparaît sur les présentoirs de la librairie d’Henri Tranquille à Montréal une brochure de quelques feuillets tirée à 400 exemplaires et signée par une quinzaine d’artistes. Pour commémorer ce 70e anniversaire, les Artistes pour la Paix récidivent avec leur Manifeste pour la Paix. Tiré symboliquement à 70 exemplaires numérotés, sous la forme d’un coffret souvenir rouge vif, avec un titre imprimé en lettres d’or, c’est plutôt un cri du cœur et une réflexion sur l’avenir fondé sur la culture de la paix.

Debout pour le climat !

Plusieurs manifestations sont organisées à travers le monde samedi le 8 septembre pour demander aux gouvernements qu’ils agissent sérieusement contre le dérèglement climatique, en pleine préparation du sommet sur le climat, la Conférence des parties – COP24. Une manifestation se tient aujourd’hui à Montréal à partir de 14 h, devant le Centre des sciences dans le Vieux-Port.

Lancement du Manifeste pour la Paix et récital de Jofroi à Mont-Saint-Hilaire

Le 9 août 1948 apparaît sur les présentoirs de la librairie d’Henri Tranquille à Montréal une brochure de quelques feuillets tirée à 400 exemplaires et signée par une quinzaine d’artistes. Illustré par le peintre Jean-Paul Riopelle, cet ouvrage porte le titre Refus global. Le contenu est explosif. Pour commémorer ce 70e anniversaire, les Artistes pour la Paix récidivent. Le Manifeste pour la Paix des APLP est …

Les APLP au Festival de la Paix de Victoriaville

Les Artistes pour la Paix seront présents au Festival pour la Paix de Victoriaville, dimanche le 23 septembre. Nous profiterons de l’occasion pour faire le lancement de notre Manifeste pour la Paix. Dimanche soir sera consacré à l’Oasis de Paix, une soirée interculturelle de recueuillement. Le lancement du Manifeste des APLP aura lieu à 19h, juste avant l’Oasis.

L’appel de 200 personnalités pour sauver la planète

« Le plus grand défi de l’histoire de l’humanité ». Diane Dufresne et Juliette Binoche ont lancé cet appel que l’on peut résumer ainsi : « Donnez-moi de l’oxygène ! » LE MONDE | 03.09.2018 a écrit : D’Alain Delon à Patti Smith, tous ont répondu à l’appel de Juliette Binoche et de l’astrophysicien Aurélien Barrau pour une action politique […]

Comment gérer les déchets nucléaires de Gentilly-1 ?

Des groupes de citoyens et des chefs autochtones craignent que l’absence d’une véritable politique en matière de gestion des déchets nucléaires ne nuise au démantèlement du réacteur Gentilly-1 à Bécancour.

« On ne veut pas que le Canada se retrouve parsemé de petits dépotoirs nucléaires à chaque endroit où il va y avoir eu un réacteur nucléaire au cours des années », a expliqué le porte-parole du Ralliement contre la pollution radioactive, Gilles Provost, en conférence de presse mardi.

Table ronde sur l’itinérance autochtone le 22 août à l’Écomusée du fier monde

Dans le cadre de l’exposition de l’artiste André Michel, Nomades ou itinérants – Peuples en danger, plusieurs intervenants échangeront autour du concept de « foyer » et d’itinérance dans le contexte autochtone. Si la reconnaissance de la destruction délibérée des matrices domiciles, linguistiques et culturelles autochtones par le gouvernement du Canada est un début, de quelle(s) façon(s) peut-on s’occuper du problème de l’itinérance chez les Autochtones ?