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Le Canada n’a pas signé le TIAN (ONU)

Si le Canada n’a pas signé, ce n’est certainement pas à cause des quatre invités du jeudi soir 19 novembre… Quatre ? C’est que la députée libérale Hedi Fry a déclaré forfait : ce n’est pas la première fois que les Libéraux trahissent la cause du désarmement nucléaire! Les quatre autres personnes sont intervenues sur ZOOM pendant une heure et demie, alors que près de trois cents auditeurs ont laissé plus d’une centaine de commentaires divers.

Libérer Meng Wang-zhou !

En prévision du deuxième anniversaire de son arrestation, joignez-vous à un panel qui cherche à Libérer Meng Wang-zhou (en chinois : 孟晚舟), injustement incarcérée par le gouvernement Trudeau à la demande de l’administration Trump le 1er décembre 2018 [1]. Le 24 novembre, de 19 heures (heure avancée de l’est) à 21 heures, vous pourrez vous joindre à ce webinaire (en anglais).

Pourquoi le Canada n’a pas signé le TIAN ?

Jeudi soir 19 novembre dès 18h 30, un débat historique débutera et vous pourrez y assister sur Zoom. Le Traité d’Interdiction des Armes Nucléaires pourtant appuyé par 122 pays en juillet 2017 lorsque présenté par l’ambassadrice Elayne Whyte-Gomez du Costa Rica, a été boudé par le Canada : notre webinaire traitera la signification de ce refus, le 19 novembre à 18h 30 (heure de l’Est), alors qu’un 50ème état a ratifié le mois dernier le TIAN qui entrera en vigueur fin janvier à l’ONU.

Militarisme et anti-militarisme

Un colonialisme pétrolier entraîne dans des guerres syriennes et autres la Russie et les pays membres de l’OTAN. Le complexe militaro-industriel-médiatico-académique-humanitaire impose sa (hors-la) loi de fer, à laquelle la majorité des pays occidentaux se plient en leurs dérives et par leur soumission aux puissances nucléaires. S’y opposera un pacifisme éclairé par de rigoureux principes écologiques et les règles de la démocratie de la Charte de l’ONU.

Appuyons cette lettre à l’Assemblée Générale de l’ONU

Par la présente, nous nous permettons d’attirer votre attention et solliciter votre soutien – une signature – à l’initiative de notre association citoyenne internationale l’Agora des Habitants de la Terre, en faveur d’une politique mondiale commune publique contre la pandémie de Covid-19, libérée des brevets et hors marché. En effet, l’Assemblée Générale de l’ONU vient de convoquer, pour les 3 et 4 décembre prochains, une Session Spéciale sur la pandémie de Covid-19 au niveau des chefs d’État et de gouvernement.

Pour des points sur les i, ou des poings sur les n

Nous sommes conscients du sens politique et de la charge émotive du mot qui a déclenché une controverse à l’Université d’Ottawa. Nous sommes aussi conscients de l’importance de pouvoir, dans un milieu universitaire, débattre et examiner tout de façon critique, y compris les sujets les plus sensibles. La liberté d’expression, à laquelle nous tenons, ne doit pas nous faire banaliser la problématique du racisme et l’importance de le combattre.

Une révolution invisible

Le mot lui-même ne m’intéresse pas. C’est son trajet qui compte à mes yeux. Ce mot tout sec, nu, sans le sang et les rires qui l’irriguent n’est qu’une insulte dans la bouche d’un raciste. Je ne m’explique pas pourquoi on donne tant de pouvoir à un individu sur nous-mêmes. Il n’a qu’à dire un mot de cinq lettres pour qu’on se retrouve en transe avec les bras et les pieds liés, comme si le mot était plus fort que l’esclavage.

Après les sushis, une vogue ciné-Japon séduit le Québec

La 49e édition du Festival du nouveau cinéma s’est achevée à Montréal le 31 octobre dernier, après le visionnement en ligne de plus de 200 films d’une cinquantaine de pays, grâce à l’implication de Québecor et l’aide de la SODEC, de Téléfilm Canada et de divers ministères plus la Ville de Montréal. Le prix Temps Ø décerné au film ayant remporté le plus de votes auprès du public a été accordé à Red Post on Escher Street, de Sion Sono.

Un message de Dominic Champagne et Laure Waridel

Chers 286,420 signataires du Pacte, c’est aujourd’hui l’anniversaire du Pacte et le jour de sa conclusion, tel qu’annoncé dans son texte fondateur. Permettez-nous un petit bilan pour vous dire au revoir dignement. Le Pacte a été lancé il y a deux ans, avec plus de 500 scientifiques, artistes et personnalités publiques, avec l’espoir de rallier des citoyens partout pour répondre à l’urgence climatique.

Armes nucléaires : deux bonnes nouvelles

Le monde est en attente fébrile de l’élection américaine demain avec l’espoir d’un nouveau régime à Washington qui fera diminuer la tension provoquée par l’abrogation de traités nucléaires par Trump et réinstaurera l’adhésion des États-Unis, tant au premier accord mondial sur le climat et le réchauffement climatique (COP21-Paris, décembre 2015 – ONU) qu’à l’Organisation Mondiale de la Santé, qui pourrait enrayer la glissade mortelle américaine au bas-fond des records mondiaux de pandémie de COVID-19.

APLP : des années de militantisme, 2e partie

Pierre Jasmin donne le 27 janvier devant les caméras du parlement canadien le résumé des conclusions du colloque auquel ont participé des membres de l’administration Obama, un représentant de l’OTAN (Ted Whiteside) et une soixantaine d’intervenants dont Michael Dworkind, président des Physicians for Global Survival, l’ex-sénateur Douglas Roche, président-fondateur de Middle Powers Initiative, qui revient d’une rencontre-colloque avec Jimmy Carter et par l’ancienne chef du Nouveau Parti Démocratique, Alexa McDonough.