À droite, au bas de la photo qu’elle a déclenchée à retardement, on trouve Tamara Lorincz, mère de deux enfants et doctorante qui consacre sa vie à militer pour la paix et contre le militarisme au nom de Voix des Femmes pour la Paix et de WILPF. Avec celles de Medea Benjamin et Sevim Dagdelen, sa présentation a été le clou de la journée, grâce à ses statistiques imparables sur la nuisance du militarisme, en particulier canadien et grâce à sa connaissance de tous les forums, y compris celui du BRICS auquel elle a assisté en Russie le mois dernier. La déclaration du contre-sommet est issue de sa pétition de juin.

À gauche, Janine Solanki du Réseau pancanadien pour la paix et la justice (CWPJN) a aussi animé plusieurs séances : on la voit à côté de l’avocat militant pour la justice John R. Philpot.

Aux deux extrémités de l’affiche STOP THE GENOCIDE, on trouve à gauche Izabella Marengo et à droite Chantal Ismé et le chef du Parti Vert du Québec, Alex Tyrrell.

Au centre de la photo en haut, les deux « parrains de la rencontre » se tiennent par les épaules, Pierre Jasmin et Ken Stone, syndicaliste venu d’Hamilton où il anime un groupe pacifiste.

 

Un diaporama de plus de cent photos sur la lutte mondiale contre les bombes nucléaires (disponible sur demande collective) spécialement créé pour le contre-sommet vs OTAN fut montré sur grand écran par le secrétaire général des Artistes pour la Paix au micro qui arbore le chandail des APLP « soyons désarmants » + T.I.A.N., APLP et mini-mappemonde de l’ONU.

 

Rita Amabili, théologienne et auteure, nouvelle membre du C.A. des APLP, a ému la salle entière par la lecture de son poème « Ne tuons pas les enfants » où l’admonestation revient régulièrement, lancinante et convaincante, une technique utilisée par de nombreuses poétesses engagées ou proches de la musique, telle feue Michèle Lalonde avec son célèbre « Speak white ».

 

« À gauche, on voit la militante pour la paix en Haïti Chantal Ismé, assise devant le cinéaste engagé Martin Duckworth APLP2002 », tandis qu’en avant, on trouve notre hôte des travailleurs grecs au micro tandis que l’organisatrice Azza Rojbi à droite, venue de Vancouver, prépare la prochaine intervention

 

Une photo plus relaxe le soir en un restau grec avec certains orateurs/trices du jour.