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Je suis APLP parce que…

"Je suis artiste pour la paix parce que quand je me monte sur scene, j'ai l'impression de faire la paix avec mon âme et celle du public. Je me retrouve là, en lieu sûr, pour explorer les forces et les failles de nos coeurs, sans danger, sans jugement ni discrimination pour célébrer la beauté de l'humanité. Et si la vie était toujours ainsi ?"
Paule Tremblay, autrice-compositrice-interprete
"C'est la paix et la justice pour tous que chacun d'entre nous souhaite et recherche. Contribuons à construire un monde meilleur, avec notre talent, quel qu'il soit !"
Camille Pelletier Antaya, membre des APLP
"Parce que la paix est toujours à faire, en nous comme avec les autres, et que c’est par l’art que c’est le plus merveilleux de la promouvoir, de la défendre, de la fêter !"
domlebo, auteur-compositeur-interprète
"Les mots de Louise Warren sur le dessaisissement et sur l’intensité préalable à la création me conduisent à Mozart et à Beethoven, à ma fille et à mon fils : je leur souhaite la paix… et travaille tous les jours à ce que ce vœu se réalise !"
Pierre Jasmin, pianiste, membre de l'exécutif de Pugwash Canada
"La paix est loin d’être acquise. Avec l’explosion de l’industrie militaire dans le monde, on aura besoin de nos mots, notre musique, nos films, de notre art pour faire contrepoids. La culture est arme de construction massive."
Guylaine Maroist, cinéaste documentaire
"Je suis artiste pour la paix... Sans la paix, pas d'avenir pour la planète. Contribuer à bâtir une culture de la paix me semble un devoir."
André Jacob, auteur et artiste-peintre, APLP honoraire
"Je suis artiste pour la paix parce que la paix justifie l'espoir ."
Denis Carrier, auteur

Ukraine : vote à l’ONU et plan chinois pour la paix

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La résolution intitulée « Principes de la Charte des Nations Unies sous-tendant une paix globale, juste et durable en Ukraine » a été adoptée par 141 voix pour, 7 contre (Bélarus, Corée du Nord, Érythrée, Mali, Nicaragua, Russie et Syrie) et 32 abstentions, au deuxième jour d’une session extraordinaire d’urgence de l’Assemblée générale.

Dans ce texte, l’Assemblée générale, qui compte au total 193 États membres, « exige de nouveau que la Fédération de Russie retire immédiatement, complètement et sans condition toutes ses forces militaires du territoire ukrainien à l’intérieur des frontières internationalement reconnues du pays, et appelle à une cessation des hostilités ».

Elle exige aussi que « le traitement par les parties au conflit armé de tous les prisonniers de guerre soit conforme aux dispositions de la Convention de Genève relative au traitement des prisonniers de guerre » et « demande l’échange complet des prisonniers de guerre, la libération de toutes les personnes détenues illégalement et le retour de tous les internés et des civils transférés et déportés de force, y compris les enfants ».

L’Assemblée générale souligne « la nécessité de parvenir, dans les meilleurs délais, à une paix globale, juste et durable en Ukraine, conformément aux principes de la Charte des Nations Unies ».

En attendant, elle « demande aux parties au conflit armé de respecter pleinement les obligations qui leur incombent en vertu du droit humanitaire international, à savoir veiller systématiquement à épargner la population civile et les biens de caractère civil, assurer un accès humanitaire sûr et sans entrave aux personnes qui en ont besoin, et s’abstenir d’attaquer, de détruire, d’enlever ou de rendre inutilisables les biens indispensables à la survie de la population civile ».

Mercredi après-midi, à l’ouverture de la session extraordinaire d’urgence de l’Assemblée générale, le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a estimé que l’invasion de l’Ukraine par la Russie il y a un an est « un affront à la conscience collective » et qu’elle « remet en cause les principes et les valeurs fondamentaux de notre système multilatéral ».

Il a rappelé que la position des Nations Unies est sans équivoque : « Nous sommes attachés à la souveraineté, à l’indépendance, à l’unité et à l’intégrité territoriale de l’Ukraine, dans ses frontières internationalement reconnues ».

La position de la Chine

Le ministre des Affaires étrangères chinois a publié vendredi une déclaration en douze points sur la position de la Chine et la paix en Ukraine. En voici un résumé :

Respect de la souveraineté – L’intégrité territoriale des nations doit être respectée, telle que définie par la Charte de l’Onu.

Abandonner la mentalité de Guerre froide – La sécurité d’une région ne doit pas faire par l’expansion des blocs militaires.

Cesser les hostilités – Toutes les parties doivent calmer le jeu.

Reprendre les pourparlers de paix – La négociation est la seule issue, et la Chine veut jouer un rôle constructif.

Résoudre la crise humanitaire – Il faut permettre à l’ONU de coordonner l’acheminement de l’aide humanitaire librement et rapidement.

Protéger les civils et les prisonniers de guerre – La Chine appuie l’échange de prisonniers entre la Russie et l’Ukraine.

Protéger les infrastructures nucléaires – La Chine appuie l’action préventive de l’AIEA.

Réduire les risques stratégiques – La guerre nucléaire ne doit pas avoir lieu. Halte à la prolifération, ainsi qu’à l’usage d’armes biologiques et chimiques.

Favoriser l’exportation des céréales – L’entente de la Mer Noire sur les céréales signée par la Russie, la Turquie, l’Ukraine et l’ONU doit être respectée.

Halte aux sanctions unilatérales – La Chine s’oppose aux sanctions unilatérales qui ne sont pas approuvées par le Conseil de sécurité de l’ONU.

Préserver les chaines d’approvisionnement – il faut empêcher la dégradation des chaines de production et des écosystèmes de finance, transport, alimentaire et énergie.

La reconstruction – La communauté internationale doit dès maintenant prendre des mesures pour amorcer la reconstruction dans les zones de conflits.

Premières réactions : les Américains considèrent que la Chine est trop collée sur la Russie pour jouer le rôle de médiateur. Le président Zelensky a salué la bonne volonté de la Chine, mais exclu tout compromis avec Poutine.

 

 

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Les APLP suggèrent…

Voici deux organisations humanitaires qui sont actives en Ukraine et dans les pays où les Ukrainiens se réfugient, sans être contrôlées ni par le gouvernement ukrainien ni bien sûr par la Russie.
Note : ces liens mènent directement aux sites web des organismes. Les dons ne transitent pas par les APLP.

Nos actions récentes

20 novembre 2022 : Lettre à la ministre Mélanie Joly : Négociez avec la Russie !
26 septembre 2022 : Événement Nourrir la paix à Rosemont.
17 septembre 2022 : Nettoyage du parc Lucia-Kowaluk pour le Journée internationale du nettoyage de la Terre.
28 juin 2022 : Lettre à la ministre des Affaires étrangères.
28 juin 2022 : Manifestation avec le Mouvement québécois pour la paix
8 mai 2022 : Manifestation Les mères au front à Québec..
5 avril 2022 : Les APLP endossent la lettre du Canada Peace Network contre les dépenses militaires.
27 mars 2022 : Lettre à l'ambassadeur des États-Unis à Ottawa.
26 mars 2022 : Manifestation avec Échec à la guerre contre la guerre en Ukraine et au Yémen.
23 mars 2022 : Lettre à l'ambassadeur de Russie à Ottawa.
23 février 2022 : Lettre à la ministre Joly sur l'Ukraine.
15 février 2022 : 33e cérémonie des Prix APLP.
21 décembre 2021 : Nos souhaits de paix 2022, lettre aux ministres fédéraux.
13 décembre 2021 : Lettre au premier ministre sur l'exportation d'armes vers l'Arabie Saoudite.
21 novembre 2021 : Deuxième lettre au ministre Miller.
27-28-29 octobre 2021 : Lettres aux nouveaux ministres fédéraux Joly, Guilbeault, Anand et Miller.
19 février 2021 : Lettre ouverte au PM concernant Haïti.

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