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Je suis APLP parce que…

"Je suis artiste pour la paix parce que quand je me monte sur scene, j'ai l'impression de faire la paix avec mon âme et celle du public. Je me retrouve là, en lieu sûr, pour explorer les forces et les failles de nos coeurs, sans danger, sans jugement ni discrimination pour célébrer la beauté de l'humanité. Et si la vie était toujours ainsi ?"
Paule Tremblay, autrice-compositrice-interprete
"C'est la paix et la justice pour tous que chacun d'entre nous souhaite et recherche. Contribuons à construire un monde meilleur, avec notre talent, quel qu'il soit !"
Camille Pelletier Antaya, membre des APLP
"Parce que la paix est toujours à faire, en nous comme avec les autres, et que c’est par l’art que c’est le plus merveilleux de la promouvoir, de la défendre, de la fêter !"
domlebo, auteur-compositeur-interprète
"Les mots de Louise Warren sur le dessaisissement et sur l’intensité préalable à la création me conduisent à Mozart et à Beethoven, à ma fille et à mon fils : je leur souhaite la paix… et travaille tous les jours à ce que ce vœu se réalise !"
Pierre Jasmin, pianiste, membre de l'exécutif de Pugwash Canada
"La paix est loin d’être acquise. Avec l’explosion de l’industrie militaire dans le monde, on aura besoin de nos mots, notre musique, nos films, de notre art pour faire contrepoids. La culture est arme de construction massive."
Guylaine Maroist, cinéaste documentaire
"Je suis artiste pour la paix... Sans la paix, pas d'avenir pour la planète. Contribuer à bâtir une culture de la paix me semble un devoir."
André Jacob, auteur et artiste-peintre, APLP honoraire
"Je suis artiste pour la paix parce que la paix justifie l'espoir ."
Denis Carrier, auteur

ONU : cinq mesures-clé pour le désarmement nucléaire

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La représentante de l’ONU aux Affaires du désarmement, Mme Izumi Nakamitsu.

La responsable du Bureau des Affaires du désarmemen de l’ONU a souligné jeudi l’urgence d’agir à l’échelle mondiale pour éliminer les armes nucléaires, à commencer par désamorcer les tensions entre les États-Unis et la Russie dans le contexte de l’escalade des menaces de part et d’autre.

S’adressant via vidéo aux participants du Forum « Act On It » organisé par ICAN à Oslo, la représentante aux Affaires du désarmement, Mme Izumi Nakamitsu, a fait le lien entre le concept de «  désarmement humanitaire » et les traités internationaux dont la Convention sur les sous-munitions, la Convention sur les mines anti-personnel et le Traité pour l’élimination des armes nucléaires. « Depuis l’invasion de l’Ukraine par la Fédération Russe il y a un an, nous avons assisté à une escalade des réthoriques et à la rupture du lien de confiance entre les deux états qui possèdent les plus gros arsenaux nucléaires. Récement, on a vu les inspections prévues par le dernier traité en vigueur, être suspendues. Le danger n’a jamais été si grand depuis la Guerre froide ».

Elle a proposé cinq mesures-clé pour inverser les dangereuses tendances actuelles :

  • Les états qui adhèrent au TIAN doivent en faire la promotion et en appliquer les principes.
  • Les états qui n’ont pas encore signé ou ratifié le TIAN doivent l’étudier en détail, en considérant les aspects normatifs et le bilan à date.
  • Les états qui décident de demeurer en dehors du TIAN devraient utiiser toutes les avenues possibles pour progresser vers le désarmement.
  • Les états doivent condamner les menaces et le chantage nucéaire, et exiger l’abolition totale des armes nucéaires, non pas en dépit du présent climat d’insécurité, mais justement à cause de celui-ci.
  • La société civile doit continuer de demander aux gouvernements – ainsi qu’à l’ONU – de respecter leurs promesses, et de faire des progrès tangibles en matière de désarmement.

 

À ce jour, 92 pays ont signé le TIAN et 68 pays en sont partie prenante, selon ‘le Bureau des Affaires du désarmement de l’ONU. Aucun des neuf états nucléarisés ne l’a signé.

« La seule manière d’éliminer la menace nucléaire, c’est d’éliminer es armes nucléaires » a conclu Mme Nakamitsu.

 

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Les APLP suggèrent…

Voici deux organisations humanitaires qui sont actives en Ukraine et dans les pays où les Ukrainiens se réfugient, sans être contrôlées ni par le gouvernement ukrainien ni bien sûr par la Russie.
Note : ces liens mènent directement aux sites web des organismes. Les dons ne transitent pas par les APLP.

Nos actions récentes

20 novembre 2022 : Lettre à la ministre Mélanie Joly : Négociez avec la Russie !
26 septembre 2022 : Événement Nourrir la paix à Rosemont.
17 septembre 2022 : Nettoyage du parc Lucia-Kowaluk pour le Journée internationale du nettoyage de la Terre.
28 juin 2022 : Lettre à la ministre des Affaires étrangères.
28 juin 2022 : Manifestation avec le Mouvement québécois pour la paix
8 mai 2022 : Manifestation Les mères au front à Québec..
5 avril 2022 : Les APLP endossent la lettre du Canada Peace Network contre les dépenses militaires.
27 mars 2022 : Lettre à l'ambassadeur des États-Unis à Ottawa.
26 mars 2022 : Manifestation avec Échec à la guerre contre la guerre en Ukraine et au Yémen.
23 mars 2022 : Lettre à l'ambassadeur de Russie à Ottawa.
23 février 2022 : Lettre à la ministre Joly sur l'Ukraine.
15 février 2022 : 33e cérémonie des Prix APLP.
21 décembre 2021 : Nos souhaits de paix 2022, lettre aux ministres fédéraux.
13 décembre 2021 : Lettre au premier ministre sur l'exportation d'armes vers l'Arabie Saoudite.
21 novembre 2021 : Deuxième lettre au ministre Miller.
27-28-29 octobre 2021 : Lettres aux nouveaux ministres fédéraux Joly, Guilbeault, Anand et Miller.
19 février 2021 : Lettre ouverte au PM concernant Haïti.

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