Je suis artiste pour la paix parce que quand je me monte sur scene, j'ai l'impression de faire la paix avec mon âme et celle du public. Je me retrouve là, en lieu sûr, pour explorer les forces et les failles de nos coeurs, sans danger, sans jugement ni discrimination pour célébrer la beauté de l'humanité. Et si la vie était toujours ainsi ?"
C'est la paix et la justice pour tous que chacun d'entre nous souhaite et recherche. Contribuons à construire un monde meilleur, avec notre talent, quel qu'il soit !"
Parce que la paix est toujours à faire, en nous comme avec les autres, et que c’est par l’art que c’est le plus merveilleux de la promouvoir, de la défendre, de la fêter !"
Les mots de Louise Warren sur le dessaisissement et sur l’intensité préalable à la création me conduisent à Mozart et à Beethoven, à ma fille et à mon fils : je leur souhaite la paix… et travaille tous les jours à ce que ce vœu se réalise !"
La paix est loin d’être acquise. Avec l’explosion de l’industrie militaire dans le monde, on aura besoin de nos mots, notre musique, nos films, de notre art pour faire contrepoids. La culture est arme de construction massive."
Je suis artiste pour la paix... Sans la paix, pas d'avenir pour la planète. Contribuer à bâtir une culture de la paix me semble un devoir."
Je suis artiste pour la paix parce que la paix justifie l'espoir ."
Dhaka, Bengladesh
Animé par des étudiants du monde entier, le mouvement réclame la fin des subventions à Big Oil : « Les corporations placent systématiquement les profits avant les gens, et ce sont les communautés qui en paient le prix. Il est de notre responsabilité de faire entendre nos voix ».
Le mouvement, initié par Greta Thunberg et sa grève pour le climat devant le parlement suédois en 2018 à l’âge de 16 ans, dénonce plusieurs pollueurs en particulier : le fracking sur le territoire autochtone Esto’k Gna au Texas, le gazoduc East African Crude Oil en Ouganda et en Tanzanie, les champs pétrolifères côtiers au Sénégal et au Mozambique, l’exploitation pétrolière en Amazonie, ne sont que quelques exemples d’activités qui ne sont rendues possibles que grâce aux subventions accordées à des entreprises comme Shell, Total Énergies, Repsol, Perenco ou Chevron.
Le mouvement demande également que les pays pollueurs du Nord s’impliquent dans le financement de la dépollution du Sud, « On ne peut pas continuer à jouer avec l’avenir de la planète et de l’humanité en finançant l’expansion des énergies fossiles ».
Dublin, Irlande
New Dehli, Inde
Nairobi, Kenya
Mannheim, Allemagne
Écoliers pakistanais
New York, États-Unis
Manille, Philippines
Ottawa, Canada
Stockholm, Suède
Uttar Pradesh, Inde
Vienne, Autriche
Nagoya, Japon
Djakarta, Indonésie
