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Une proposition de solution à la guerre en Ukraine

Au nom du groupe d’étude de Los Alamos. La fin de l’invasion et de la guerre en Ukraine ne peut être garantie que si la sécurité de la Russie est elle-même garantie. La sécurité est largement indivisible. La sécurité d’un État nécessite la sécurité des autres, affirme le groupe d’étude de Los Alamos. Ce que veut le groupe d’étude : Nous voulons une paix négociée le plus tôt possible.

L’imagination de la rue et du contact humain

Deux propagandes militaristes s’affrontent, celle étanche policière de Poutine en Russie censure les informations mettant en doute l’avancée triomphale de ses troupes en Ukraine. Pour sa part, la propagande militariste occidentale claironne que si Poutine a attaqué, c’est à cause de la défense militaire affaiblie des pays de l’Europe et de l’Amérique du Nord. La première est pathétique, la seconde ridicule et les deux d’une naïveté consternante.

Pour mettre fin à la guerre en Ukraine, il faut savoir comment empêcher les nouvelles guerres

Il faut imposer le cessez-le- feu immédiat en Ukraine. Armer l’Ukraine et adopter les dures sanctions annoncées contre la Russie ne font qu’accentuer et exacerber la guerre. Elles ne sont pas la solution pour la paix et pour « libérer » les Ukrainiens, mais l’instrument pour, avant tout, la défaite, voire la mort de la Russie par asphyxie économique et, subsidiairement, pour soumettre le devenir des Ukrainiens aux intérêts des Etats-Unis et des « puissances » européennes occidentales.

Marches d’espérances de paix le 6 mars

Il y a plus de trois jours, on vous parlait d’une négociation de paix entreprise à la frontière de l’Ukraine et de la Biélorussie. Reconvoquée le 2 mars, cette bonne nouvelle que nous tenons de Jocelyn Coulon interviewé à Radio-Canada n’est pas commentée par nos médias qui préfèrent parler des armes canadiennes qu’on croit utiles (!) à résoudre le conflit. La ministre Mélanie Joly au départ réticente fait de la surenchère.

Déclaration de la Hamilton Coalition to Stop the War

Les États-Unis et l’OTAN ont eux-mêmes créé cette crise en balayant du revers de la main les demandes de la Fédération de Russie, qui se voulaient raisonnables, en lien avec deux projets de traités soumis le 21 décembre 2021. L’une des principales revendications concernait la neutralité de l’Ukraine et son engagement ferme de ne jamais adhérer à l’OTAN.

Déclaration Pugwash sur la guerre en Ukraine

La guerre en Ukraine représente un danger immense à l’intérieur de l’Europe, première intervention militaire russe significative en Europe en plus de cinquante ans. Après l’effondrement de l’Union Soviétique, la définition des frontières des états nouvellement indépendants s’est faite, pour la plupart, de façon constructive et pacifique, à l’exception significative de l’Arménie-Azerbaïjan et de la Géorgie.

L’Ukraine ne doit pas mourir… pour l’OTAN

Le 20 janvier dernier, avec Bianca Mugyenyi de l’Institut canadien de politique étrangère, Tamara Lorincz de la Canadian Voice of Women for Peace et le Canado-ukrainien Glenn Michalchuk, de la Peace Alliance Winnipeg, les Artistes pour la Paix avaient lancé un cri d’alarme commun au gouvernement canadien, relayé par l’Aut,Journal et Pressenza, de concert avec différents intervenants, dont Jocelyn Coulon du CÉRIUM.