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Mario Dumont et la propagande de guerre

Mario Dumont s’est fait connaître en 1995 en joignant les voix de sa formation, l’Action Démocratique du Québec, à celles Parti Québécois de Jacques Parizeau pour appuyer le oui au référendum. Ses opinions se sont droitisées, ce qui est le cas d’à peu près tous les politiciens, mais sur les politiques du Québec, ses connaissances dépassent les miennes et jamais je ne chercherais à le confronter sur le plan économique, sauf pour dire que le budget de madame Freeland jeudi sera grevé de 20 milliards de $ pour de nuisibles F-35.

La vérité est la première victime de la guerre

Le président russe, Vladimir Poutine, a entamé le 24 février dernier, une guerre en Ukraine. Alors que des frappes militaires se multiplient et avec elles le nombre de victimes et de personnes exilées, dénoncer l’invasion russe et sa violence inouïe est une évidence. Toutefois des clés d’analyse sont manquantes dans la couverture des grands médias pour bien comprendre les causes de ces événements et en saisir les enjeux, incluant la responsabilité de l’OTAN et du gouvernement de Kiev dans cette guerre.

Trois divers appels idéalistes à la paix

Le 15 mars, à l’intime Maison de la Culture Notre-Dame de Grâce rue Botrel, la dernière venue au conseil d’administration des Artistes pour la paix, l’autrice-interprète-compositrice Paule Tremblay, donnait dans le cadre d’une petite salle intime qui lui convenait parfaitement, son spectacle accueilli par de fervents et nourris applaudissements.

Commentaire sur les lendemains de misère qui nous guettent

Guy Demers, artiste céramiste et sculpteur

Ce qui ressort des propos d’Einstein sur la guerre atomique et ce qui restera de nous et de l’humanité par la suite, si elle arrive, c’est une vision fort tragique du sort de l’humanité. Mais la bombe n’est pas le seul danger qui nous guette. Cette vision tragique de l’humanité, sans aucune référence à la bombe, a été aussi celle de Soljenitsyne dans « Une journée d’Ivan Dénissovitch ».

L’OSM annule les concerts du jeune pianiste russe Alexander Malofeev

Tel est le titre d’un article du journal Le Devoir du 9 mars. Aujourd’hui donc, je n’ai pas le cœur à la poésie, mais plutôt au désenchantement devant la confusion sur l’esprit de la guerre qui, en quelques jours, s’est imposée sans nuances, à la vitesse de l’invasion, partout dans les esprits, les cœurs… et les institutions, dont l’OSM. La culture de la paix n’est pas une utopie, mais un développement de la pensée à cultiver.

L’Ukraine – une Suisse du Nord – pourquoi pas ?

En ce jour le 8 février 2022, qui verra le président de la France et, pour six mois encore, président de l’Europe, rencontrer le président de l’Ukraine, au lendemain d’un marathon de paroles bien intentionnées au Kremlin, avec le président de la Russie, j’ai fait le rêve d’une Ukraine s’accordant et se voyant reconnue un statut de pays neutre.

Le blocage d’extrême-droite des camionneurs

Admirateurs de cette caricature de Phaneuf, les Artistes pour la Paix avertissent de ne surtout pas tenir pour seulement ridicules les prises de position populistes. Car elles sont avant tout dangereuses et appuyées par des dons de l’extrême-droite à GoFundMe, que le gouvernement de Trudeau intercepte quand ils viennent pour la plupart des États-Unis.

Pour la paix… Que faut-il regarder du côté du gouvernement canadien ?

André Jacob, auteur et artiste visuel

Parmi les clichés du début d’une nouvelle année, on souhaite la paix, mais la paix angélique et individuelle sans portée sociale ou politique. C’est trop dérangeant de regarder le portrait actuel dans notre miroir et celui de nos sociétés riches, organisées et bien pensantes. À l’orée de l’année 2022, il reste plusieurs zones d’ombre quant aux enjeux cruciaux au sujet du développement de la culture de la paix, tout particulièrement si l’on analyse un peu les positions du gouvernement du Canada.

Ostrogoths du 6 janvier 2021… et les «nôtres»

Réglons d’abord le cas de « la gang de sans-dessein » (très juste expression utilisée par le Premier ministre Justin Trudeau, avant qu’il massacre l’appellation ostrAgoths, Aouch) qui a fait le party dans un avion nolisé à la compagnie Sunwing : des influenceurs que nos réseaux sociaux et nos « nouvelles microsoft et autres » mettent en valeur comme représentatifs de notre société mercantile…