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Réécrire l’histoire…

Le 3 juin nous fait vivre des moments historiques déterminants. À l’échelle internationale, la paix en jeu n’est qu’un jouet entre les mains d’une élite mortifère pétrolière, qui plus est armée d’ogives nucléaires : même la cheffe du Parti Vert Elizabeth May compromet son intégrité avec les pipelines du « libéral » Justin Trudeau !

Notre-Dame, le 15 avril 2019

D’où vient cet incroyable sentiment de perte qui oppresse mon cœur depuis l’incendie qui a ravagé Notre-Dame de Paris ? De mon enfance animée d’une naïve foi inébranlable dans le Christ et son sacrifice ? Ma longue adolescence auprès de femmes aimantes de pays païens m’en avait pourtant guéri, sans compter la musique, maîtresse inassouvissable…

Qui veut la mort de l’ONU ?

NDLR : L’auteur Romuald Sciora présentera le livre à la librairie Gallimard de Montréal, le 21 mars. Ce livre fort opportun au titre provocateur permet de revenir sur l’essentiel du message de paix qu’on exprime depuis au moins deux ans, mettant en relief l’abandon par le Canada de ses idéaux onusiens pour des achats militaires, pétroliers ou autres commandés par l’OTAN.

Manifs pour la paix à Montréal le 3 mars

Plus de deux mille Montréalais ont manifesté en solidarité avec les étudiants de leur pays contre la mascarade d’un « président-zombie », qui veut briguer un 5e mandat consécutif, alors qu’il est hospitalisé à Genève. Les jeunes manifestants tenaient aussi à dénoncer l’utilisation quasi frauduleuse par les médias d’images montrant le président Abdelaziz Bouteflika il y a plus de cinq ans…

Pendant ce temps, à Ottawa…

Le Ministère des Affaires étrangères m’invite pour la troisième année à participer le 28 mars à l’édifice Lester B. Pearson (Ottawa) au Forum d’affaires mondiales Canada sur la non-prolifération, le contrôle des armements et le désarmement. On utilise trois mots pour masquer l’incompétence du ministère de madame Freeland à saisir la gravité du retrait par Donald Trump de l’accord sur le nucléaire iranien…

Traversiers ou navires de guerre ? Ottawa a choisi

Au Stockholm International Peace Research Institute (SIPRI), la directrice du programme armes et dépenses militaires mondiales, la Docteure Aude-Emmanuelle Fleurant, est une Québécoise formée à l’UQAM par le regretté Yves Bélanger. Auteure d’une présentation applaudie au colloque du 6 février 2008 intitulé Guerres et écocides organisé par Louise Vandelac et moi, pourquoi nos médias n’interviewent pas celle qui aurait pourtant des choses à raconter pour le bien de nos démocraties rongées par le militarisme ?

Le plus beau cadeau

Noël est devenu le temps des cadeaux. Et le Nouvel An, celui des résolutions. Cette année, vous pouvez faire d’une pierre plusieurs coups : cadeau, résolution, pour vos enfants et petits-enfants, de même que pour la planète tout entière. Il suffit d’aller signer, si vous ne l’avez pas déjà fait comme plus d’un quart de million de Québécois, le Pacte pour la transition (www.lepacte.ca).

L’affaire Huawei

L’article de Marie Vastel et Karl Rettino-Parazelli (Le Devoir, 7 décembre) nous informait que « Huawei, la plus importante compagnie privée chinoise, est ciblée par plusieurs pays occidentaux, les États-Unis en tête, qui redoutent son emprise sur le déploiement du futur réseau de télécommunications 5G. Les États-Unis, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et le Royaume-Uni (…) ont invoqué des risques pour la sécurité nationale en raison de soupçons d’espionnage, des allégations rejetées fermement par Huawei. (…)

Avez-vous signé le Pacte ?

Les changements climatiques commencent à nous rejoindre : sécheresses, inondations, feux de forêts, érosion des berges du St-Laurent, etc. Les canicules mortelles de cet été nous l’ont aussi rappelé. Il est urgent d’agir si nous voulons éviter le pire : le secrétaire général des Nations Unies disait, en septembre dernier, qu’il ne nous reste que deux ans pour changer de cap ! Allons-nous rester là, sans rien faire, sous prétexte d’impuissance, à attendre la catastrophe ?

Coquelicot du 11 novembre : blanc et/ou rouge ?

Le 11 novembre 2018 marque le 100e anniversaire de la fin de la guerre de 1914-1918. Le Canada comme les pays du Commonwealth Britannique se font un devoir de souligner le sacrifice ultime des soldats et vanter leur bravoure. Armées du coquelicot rouge, les forces armées canadiennes en profitent pour rappeler la mémoire des 6 000 soldats canadiens tués durant ce conflit. Pourtant, comme le rappelait le professeur Francis Dupuis-Déry, beaucoup plus de civils ont perdu la vie dans ce conflit sanglant.

Kinder Morgan : haute trahison de Trudeau

Quatre raisons condamnant l’achat de Kinder Morgan par le gouvernement canadien. La saison 2017 a établi un record pour le nombre et l’intensité des ouragans mondiaux ; or, leur virulence aggravée par le réchauffement climatique est attribuée par les scientifiques en une part importante par l’exploitation effrénée des sables bitumineux canadiens.

Propagande et menaces : le langage des armes

Je ne suis pas un expert en politique internationale, mais je tente de comprendre le drame qui se joue en ce moment et qui risque de faire déraper les pays vers une guerre ouverte ou larvée. Peu importe. La situation me semble critique et la propagande guerrière est à l’œuvre avec son lot de mensonges et d’élucubrations au sujet des motifs pour se lancer dans une aventure conflictuelle dont l’issue est tout à fait imprévisible.