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Pourquoi le président Trump est un danger

Tous les pays du monde pensent qu’ils ont raison et que les autres ont tort. Et l’Amérique, maître du monde depuis un siècle, pense ainsi plus que tous les autres. Et le président Trump, encore plus que l’Amérique ! Pour vivre ensemble, de façon civilisée et sans trop de conflits, il faut donc négocier et concilier des points de vue différents, sinon contradictoires. Les Nations Unies ont été jusqu’ici le meilleur effort international pour de telles négociations.

Du racisme au mur des rapaces

Donald Trump «nous révèle une vérité choquante sur cette part des États-Unis depuis longtemps cachée sous le vernis du rêve américain», rapporte l’auteur. Se passe-t-il une journée au Québec sans qu’on parle de racisme dans les médias ? Je me pose la question, car ma propre perception est celle d’une culture québécoise métissée et généreuse, sans ghettoïsation.

Appel au Canada à signer le Traité d’interdiction des armes nucléaires

Le 7 juillet 2017, cent vingt-deux nations ont en un geste historique voté à l’ONU l’adoption d’un Traité d’interdiction des armes nucléaires : le Traité interdit le développement, les tests, la production, la vente et la possession d’armes nucléaires qui y sont sans condition stigmatisées comme hors-la-loi humanitaire internationale. Des gouvernements et la société civile ont ensemble reconnu les « conséquences humanitaires catastrophiques » et l’impact environnemental qu’entraînerait l’utilisation de n’importe quelle arme nucléaire.

Sortons la Caisse du carbone !

La Terre a besoin de notre courage, et tout de suite ! Je présume que la cause des changements climatiques est entendue. Et que je n’ai plus besoin de vous convaincre de l’urgence d’agir. Selon plusieurs (dont David Suzuki), le pétrole qui est encore sous terre devrait y rester, tellement il est urgent de modifier notre consommation actuelle d’énergie. Et on ne devrait pas, à plus forte raison, dépenser pour augmenter la production d’énergie fossile et la faire durer encore plus longtemps.

Tribune : Peut-on éviter la guerre avec la Corée du Nord ?

Les guerres se font toujours parce que nous sommes convaincus que nous avons raison et que l’autre a tort. Elles se font très souvent quand nous sommes incapables de nous mettre dans les souliers de l’adversaire, par ignorance ou par incompétence. Et elles se font quand les belligérants possèdent des armes capables, pense-t-on, de faire mal à l’ennemi. Trois conditions réunies présentement entre les États-Unis d’Amérique et la Corée du Nord.

Oui à l’ONU

De 1957 à 1998, le Canada semble tourner le dos au colonialisme en appuyant l’ONU. Quelques dates : • Prix Nobel de la Paix 1957, Lester B. Pearson fonde les Casques bleus de l’ONU tandis qu’en Nouvelle-Écosse, le Canadien Cyrus Eaton accueille, suite au manifeste Einstein-Russell, les Conférences mondiales Pugwash pour la science et les affaires mondiales. […]

Gilles Tremblay
(6 septembre 1932 – 27 juillet 2017)

La musique de Gilles Tremblay « sent » le fleuve ! (St-Laurent…). Amoureux de tout ce qui vit et respire, des grands espaces, de l’eau, du feu, du ciel et de la terre, Gilles Tremblay nous propose pas moins que l’extase et le dépassement de soi. Son œuvre musicale atteint des sommets de pureté, d’expressivité et d’inventivité au travers un profond respect de la tradition. Gilles était un grand humaniste, de la trempe d’un Fernand Dumont, d’un Gaston Miron ou d’un Pierre Perrault.

Contre toute démonisation

Il est trop facile de démoniser et Kim Jung-un et Donald Trump : c’est devenu hélas le sport numéro un de nos commentateurs et hommes politiques, se rassurant ainsi commodément de leur propre appartenance à une majorité raisonnable, confortable et peu engagée. Un Justin Trudeau fera oublier ses 500 milliards de dépenses militaires projetées, en prononçant des paroles lénifiantes contre le racisme anti-réfugiés, un Emmanuel Macron fermera quelques vétustes centrales au nom de l’écologisme, tout en dépensant des milliards d’euros pour armer « la frappe nucléaire ». Démoniser les deux leaders mentionnés les rassure alors sur leur « propre » humanité…

La cérémonie du 5 août au Jardin botanique en commémoration de Hiroshima

Première partie : discours officiels et musiques émouvantes du Quatuor Eska. Charles-Mathieu Brunelle représentait Espace pour la Vie et M. Luc Vanasse, la Fondation du Jardin botanique et du Pavillon japonais, afin de rappeler les différentes symboliques de paix attachées au Jardin. C’était précisément le message livré en son discours non officiel plus tôt devant la porte d’entrée principale du Jardin botanique par le président domlebo des Artistes pour la Paix.
Deuxième partie : vigile appelée plus tôt par les APLP. Les discours de domlebo et de Pierre n’ont pas manqué de souligner l’époque dangereuse dans laquelle nous vivons où meurent encore des civils de tous âges, tandis que des guerres d’agression laissent des pays entiers en ruine et des millions de civils déplacés, tués, blessés ou forcés de fuir en tant que réfugiés.

Vigile au Jardin botanique le 5 août : soyez-y !

Les Artistes pour Paix vous convient le samedi 5 août 2017 dès 17h à l’entrée du Jardin botanique de Montréal à une VIGILE commémorant le bombardement d’Hiroshima (1945). Ce sera l’occasion de montrer notre appui au Traité du 7 juillet 2017 adopté par 122 pays à l’ONU voulant interdire LES ARMES NUCLÉAIRES. Quelques prises de paroles […]

122 pays déterminés ouvrent une voie (fermée par le Canada)

Les Nations Unies ont approuvé un Traité d’interdiction des armes nucléaires. La Présidente de la Conférence des Nations Unies sur l’interdiction des armes nucléaires, Elayne Whyte Gómez, a déclaré : « C’est un moment historique, c’est le premier traité multilatéral de désarmement nucléaire à être conclu en plus de 20 ans ». Le Canada a boycotté ces négociations alors que la Hollande (qui a voté contre en obéissance servile à l’OTAN) a au moins pris la peine d’écouter les arguments présentés. Quelle honte pour les Canadiens que son gouvernement, dit libéral, ait refusé parfois même d’entendre les arguments d’une vingtaine de groupes pourtant les mieux informés.