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Traversiers ou navires de guerre ? Ottawa a choisi

Au Stockholm International Peace Research Institute (SIPRI), la directrice du programme armes et dépenses militaires mondiales, la Docteure Aude-Emmanuelle Fleurant, est une Québécoise formée à l’UQAM par le regretté Yves Bélanger. Auteure d’une présentation applaudie au colloque du 6 février 2008 intitulé Guerres et écocides organisé par Louise Vandelac et moi, pourquoi nos médias n’interviewent pas celle qui aurait pourtant des choses à raconter pour le bien de nos démocraties rongées par le militarisme ?

Le plus beau cadeau

Noël est devenu le temps des cadeaux. Et le Nouvel An, celui des résolutions. Cette année, vous pouvez faire d’une pierre plusieurs coups : cadeau, résolution, pour vos enfants et petits-enfants, de même que pour la planète tout entière. Il suffit d’aller signer, si vous ne l’avez pas déjà fait comme plus d’un quart de million de Québécois, le Pacte pour la transition (www.lepacte.ca).

L’affaire Huawei

L’article de Marie Vastel et Karl Rettino-Parazelli (Le Devoir, 7 décembre) nous informait que « Huawei, la plus importante compagnie privée chinoise, est ciblée par plusieurs pays occidentaux, les États-Unis en tête, qui redoutent son emprise sur le déploiement du futur réseau de télécommunications 5G. Les États-Unis, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et le Royaume-Uni (…) ont invoqué des risques pour la sécurité nationale en raison de soupçons d’espionnage, des allégations rejetées fermement par Huawei. (…)

L’effet Kondiaronk

Dans la centaine de mes articles publiés par l’Aut’Journal au cours des trois dernières années, jamais n’aura-t-on constaté la moindre composante ésotérique, dans les sujets artistiques, encore moins les politiques ! Et pourtant le titre de cet article fait référence au 6 décembre sur le Mont-Royal, réplique de Hochelaga, terre des âmes de François Girard ! Les Artistes pour la Paix sont représentés presque annuellement à cette soirée de commémoration du massacre de quatorze Polytechniciennes, il y a 29 ans.

Joignez-vous aux APLP pour la Grande Marche pour le climat le 8 décembre

Vue d'ensemble

Samedi le 8 décembre aura lieu la Grande marche pour le climat, organisée par La Planète s’invite au Parlement en solidarité avec le mouvement mondial Climate Alarm. Le rassemblement est prévu à 13 heures sur la Place du Canada (métro Bonaventure) à Montréal. Les APLP se rejoignent donc sous notre bannière à 13h au coin des rues De la Cathédrale et La Gauchetière, à l’extrémité Nord de la passerelle qui relie le Chateau Champlain au parc Place du Canada.

L’artiste Pierre Allard, cofondateur de l’ATSA, n’est plus

Il n’est pas surprenant que plusieurs membres des APLP aient participé aux événements organisés par l’ATSA au fil des années. Annie et Pierre savaient déclencher chez les gens le réflexe collaboratif. Nous les avions nommés APLP de l’année 2008 pour leur action terroriste socialement acceptable – car c’était leur leitmotiv à l’époque.

La Vigile du 11 novembre

J’étais à la Vigile du 11 novembre et j’ai tenu pendant un moment la banderole « À la mémoire de toutes les victimes des guerres », au côté des banderoles « Échec à la guerre » et « Place à la paix ». Les officiels de l’armée ont placé la mairesse de Montréal devant nous, elle nous a regardé et a semblé nous sourire, mais nous étions séparé par la soldatesque de différentes armes (infanterie, marine, hussards, etc.).

La Grande Marche du 10 novembre : les APLP y étaient

La bannière APLP

En respect de sa mission, Les Artistes pour la Paix étaient présents à la manifestation citoyenne tenue samedi après-midi à Montréal, pour demander au nouveau gouvernement du Québec de faire de l’environnement une priorité. Les organisateurs estiment que 50 000 personnes se sont rassemblées pour la marche, qui a commencé à 14 h à la Place des festivals et qui s’est terminée vers 16 h 45 malgré un vent glacial.

Avez-vous signé le Pacte ?

Les changements climatiques commencent à nous rejoindre : sécheresses, inondations, feux de forêts, érosion des berges du St-Laurent, etc. Les canicules mortelles de cet été nous l’ont aussi rappelé. Il est urgent d’agir si nous voulons éviter le pire : le secrétaire général des Nations Unies disait, en septembre dernier, qu’il ne nous reste que deux ans pour changer de cap ! Allons-nous rester là, sans rien faire, sous prétexte d’impuissance, à attendre la catastrophe ?

Coquelicot du 11 novembre : blanc et/ou rouge ?

Le 11 novembre 2018 marque le 100e anniversaire de la fin de la guerre de 1914-1918. Le Canada comme les pays du Commonwealth Britannique se font un devoir de souligner le sacrifice ultime des soldats et vanter leur bravoure. Armées du coquelicot rouge, les forces armées canadiennes en profitent pour rappeler la mémoire des 6 000 soldats canadiens tués durant ce conflit. Pourtant, comme le rappelait le professeur Francis Dupuis-Déry, beaucoup plus de civils ont perdu la vie dans ce conflit sanglant.