Skip to main content

Un message de Dominic Champagne et Laure Waridel

Chers 286,420 signataires du Pacte, c’est aujourd’hui l’anniversaire du Pacte et le jour de sa conclusion, tel qu’annoncé dans son texte fondateur. Permettez-nous un petit bilan pour vous dire au revoir dignement. Le Pacte a été lancé il y a deux ans, avec plus de 500 scientifiques, artistes et personnalités publiques, avec l’espoir de rallier des citoyens partout pour répondre à l’urgence climatique.

Armes nucléaires : deux bonnes nouvelles

Le monde est en attente fébrile de l’élection américaine demain avec l’espoir d’un nouveau régime à Washington qui fera diminuer la tension provoquée par l’abrogation de traités nucléaires par Trump et réinstaurera l’adhésion des États-Unis, tant au premier accord mondial sur le climat et le réchauffement climatique (COP21-Paris, décembre 2015 – ONU) qu’à l’Organisation Mondiale de la Santé, qui pourrait enrayer la glissade mortelle américaine au bas-fond des records mondiaux de pandémie de COVID-19.

APLP : des années de militantisme, 2e partie

Pierre Jasmin donne le 27 janvier devant les caméras du parlement canadien le résumé des conclusions du colloque auquel ont participé des membres de l’administration Obama, un représentant de l’OTAN (Ted Whiteside) et une soixantaine d’intervenants dont Michael Dworkind, président des Physicians for Global Survival, l’ex-sénateur Douglas Roche, président-fondateur de Middle Powers Initiative, qui revient d’une rencontre-colloque avec Jimmy Carter et par l’ancienne chef du Nouveau Parti Démocratique, Alexa McDonough.

APLP : des années de militantisme

Depuis un récital en juillet 2007 pour le 50e anniversaire des Conférences internationales PUGWASH en présence du maire de Hiroshima, j’ai essayé d’être digne de mon modèle et ami Frédéric Back en rejoignant tous les groupes travaillant à l’élimination des armes nucléaires, en organisant plusieurs événements au Québec, y compris contre le nucléaire civil et en participant à la résistance canadienne contre le complexe militaro-industriel à Ottawa et à Toronto.

TIAN : un jalon de plus vers la victoire maintenant en vue

Aujourd’hui, il faut dire bravo à ICAN.org (Beatrice Fihn et Setsuko Thurlow) et à l’ambassadrice Elayne Whyte-Gomes du Costa-Rica qui ont obtenu d’un 50e pays la ratification du Traité d’Interdiction des Armes nucléaires qui entrera en janvier en vigueur à l’ONU ! Trois partis au Canada (merci à A. Wagner) Bloc Québécois, NPD et Parti Vert l’approuvent.

Webinaire : Pourquoi le Canada n’a pas signé le TIAN ?

Le Traité d’Interdiction des Armes Nucléaires a subi du Canada un refus dont un séminaire en ligne traitera la signification, le 19 novembre à 18h30. On pourra se joindre en ligne à nos invités, les députés Hedy Fry (Libérale), Alexis Brunelle-Duceppe (Bloc Québécois), Heather McPherson (NPD), Elizabeth May (Parti Vert), de même que Setsuko Thurlow, survivante du bombardement atomique sur Hiroshima.

TIAN : ça y est !

La barre des 50 ratifications nécessaire à l’entrée en vigueur du traité sur l’interdiction des armes nucléaires (TIAN) a été franchie samedi. En effet, le Honduras a ratifié le traité, à la suite du Nigeria, de la Malaisie, de l’Irlande, Malte et Tuvalu, qui avaient adhéré à l’occasion du 75e anniversaire d’Hiroshima. Le Canada n’a toujours pas ratifié le traité, malgré les nombreux appels de la société civile, ICAN, CCANW et Artistes pour la Paix en tête.

Coup de gueule : nos fragiles solidarités contre les racismes puissants

Les racismes institutionnels ont trouvé un truc avec l’aide empressée des médias pour fuir leurs véritables responsabilités : inventer des histoires verbales de racisme individuel. À Radio-Canada mercredi soir, Céline Galipeau interviewait Paul Wells de Maclean’s, seul interlocuteur représentant le Canada anglais, qui affirmait « être sidéré par la différence de traitement du sujet dans les deux solitudes ».

NewSTART : vers un gel des ogives nucléaires pour un an ?

Selon le site web Politico, une entente serait en cours d’acceptation entre la Russie et les États-Unis. Ceux-ci auraient proposé de geler le nombre d’ogives nucléaires des arsenaux respectifs pendant un an, en échange d’une prolongation du traité NewSTART. « Oui, si les États-Unis ne rajoutent pas de conditions supplémentaires à ce gel » a été la réponse du ministère des Affaires étrangères russe.