Badr sculpte ses œuvres avec les pierres du mont Safoon, près de Lattaquié, en Syrie. Il a avec cette famille de pierres « une relation humaine morale » car, dit-il « ne ressent le malheur des pauvres que celui qui fait partie de leur terre ». Il incarne les populations déplacées. « Mon imagination est sans limites. Je transforme ces pierres en des récits tissés par mon imagination mêlés à l’amertume de la réalité ».